Dans un pays d'agapes et de gastronomie, où la terre nous offre des merveilles de cépages et de céréales pour produire autant de nectars plus ou moins alcoolisés, il est difficile, à moins de ne pas l'apprécier, de se passer de l'alcool. Il est cependant nécessaire de prendre conscience de sa consommation pour en limiter les effets pervers.
Qui ne s'est pas dit, après les fêtes de fin d'année "c'est bon, cette année j'arrête les excès" ! Cette résolution, même si notre rythme de vie dès janvier nous permet de ralentir plus ou moins nos excès, une fois la galette des rois avalée, peut-être compliquée à tenir sur le long terme pour certains aliments ou boissons dont nous pensons qu'ils sont bénéfiques pour notre bien-être. Et particulièrement en ce qui concerne l'alcool.
Selon le site alcool-info-service.fr :
"L’alcool est un produit psychoactif, c’est-à-dire qu’il agit sur le fonctionnement du cerveau : il modifie la conscience et les perceptions, et de ce fait le ressenti et les comportements. Les effets immédiats dépendent surtout de l’alcoolémie.
Consommé à faibles doses, l’alcool procure une sensation de détente, d’euphorie, voire d’excitation. Il dés-inhibe et aide à s’affranchir de sa timidité. Il libère la parole et contribue à lâcher-prise. Les réflexes commencent à diminuer.
Consommé à plus fortes doses, l’alcool provoque l’ivresse. Elle se traduit par une mauvaise coordination des mouvements, une élocution troublée, une diminution des réflexes et de la vigilance, un état de somnolence, etc. La consommation d’alcool peut également entraîner des pertes de mémoire allant jusqu’au trou noir. À très fortes doses, la somnolence peut aller jusqu’au coma éthylique. Il constitue une urgence médicale. Faute de soins, il peut provoquer la mort.
Au delà de ses effets immédiats, consommé fréquemment, l’alcool a des conséquences sur la santé à long terme."
Effectivement, la sur-consommation d'alcool sur le long terme peut entrainer des maladies grâves (cancers, risques cardio-vasculaires, cirrhose, dégénérescence du cerveau et affectations parfois irréversible de la santé mentale).
Mais parfois, la connaissances des risques n'évite pas le danger : les effets immédiats de l'alcool sur le système psychique emportent tout raisonnement et la dissonance cognitive récurrente entraine le buveur dans un schéma pervers d'addiction (libération de dopamine -> recherche de plaisir -> accoutumance -> dépendance -> addiction). Les comportements changent, le geste du verre suivant devient reflex, le plaisir diminuant avec chaque dose, la consommation augmente
Cette petite video résume parfaitement le processus de dépendance et le phénomène de manque qui devient au bout du compte, fatal.
Libérez-vous !
Avec la sophrologie, apprenez à contrôler votre comportement, vos réflexes compulsifs, et à vous libérer !
En fonction de votre consommation, voire de votre addiction, vous suivrez entre 6 et 10 séances pour apprendre à gérer les situations où votre consommation s'accélère, gérer les émotions et tensions qui y sont liées, programmer le contrôle, la maitrise de votre comportement et inscrire sur le long terme votre capacité à vivre l'alcool en "sobriété heureuse" !
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